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[Innovation] Inauguration d’Ecotri : notre installation de sur-tri des déchets ultimes
Publié le 18 octobre 2024
Le jeudi 17 octobre 2024 à La Poitevinière (49), nous avons inauguré notre installation du sur-tri des déchets ultimes, Ecotri. Près de 200 clients et partenaires ont eu l’opportunité de visiter cette installation hors normes. Avec Ecotri, ce sont désormais 52 000 tonnes de matières par an, issues des déchets ultimes, qui seront valorisées au lieu d’être stockées. Ce process doté des technologies dernier cri est unique en Europe !
Les déchets ultimes sont habituellement stockés en casier. Ils sont en effet trop complexes à recycler par les méthodes traditionnelles en raison de leur composition hétérogène. Après une recherche infructueuse de solutions pour leur valorisation, nous avons pris l’initiative de développer un process unique et innovant !
« Jusqu’à présent, il n’existait pas de solution technique viable pour traiter les déchets ultimes. C’est pourquoi nous avons décidé de la créer nous-mêmes », explique Fabien Gaufreteau, directeur de Brangeon Recyclage. Ce projet, inédit en France et en Europe, représente un investissement de 22 millions d’euros.
Ecotri représente une avancée technologique et environnementale capable de traiter 65 000 tonnes de déchets par an, pour en valoriser 80 %. « Ce sont 52 000 tonnes de déchets qui n’iront plus en stockage mais seront orientées vers les filières de valorisation matière ou énergétique », ajoute Fabien Gaufreteau. Ce projet permet également d’atteindre un nouvel objectif pour notre groupe : valoriser 90 % des déchets que nous prenons en charge, contre 79 % jusqu’à présent.
Ainsi, alors qu’Ecotri est en fonctionnement depuis quelques semaines, il a déjà permis de transformer 5 800 tonnes de déchets ultimes en matières valorisées !
Victor Brangeon, président du Groupe, souligne l’importance de cette inauguration dans le cadre des 105 ans d’histoire de notre entreprise familiale : « Aujourd’hui, nous célébrons bien plus qu’une nouvelle infrastructure, nous inaugurons un tournant pour notre entreprise et pour l’environnement ».
Il a également mis en lumière la vision du Groupe pour l’avenir : « Nous devons continuer d’innover conformément à notre Vision Zéro déchet, un chemin que nous avons entrepris depuis plusieurs années déjà. »
Cette vision passe par le tri des déchets à la source, l’amélioration du tri et la valorisation maximale des matières. L’usine Ecotri s’inscrit pleinement dans cette démarche en apportant une solution concrète au traitement des déchets non valorisables. « Nous avons un rôle à jouer dans la décarbonation de vos activités », a-t-il ajouté à l’adresse des partenaires présents, « et nous faisons tout pour vous accompagner dans la réduction de l’impact environnemental de vos déchets ». Lors de cette inauguration, Corinne Minot, sous-préfète de Cholet (49), a également pris la parole pour souligner notre engagement en faveur de l’innovation et « facteur de réussite pour la transition écologique du territoire ».
Pour les entreprises industrielles, artisanales, commerciales ou du BTP, la gestion des déchets représente un enjeu majeur souvent coûteux.
Avec Ecotri, nous proposons une solution performante qui permet d’optimiser la gestion des déchets tout en réduisant l’impact environnemental. Cette innovation est conçue pour réduire l’envoi en casiers de stockage des déchets les plus difficiles à traiter. Elle offre ainsi une meilleure réponse aux exigences réglementaires et environnementales, tout en répondant aux attentes en matière de RSE.
Ecotri contribue activement à l’économie circulaire avec la production de nouvelles matières, évitant ainsi l’utilisation de ressources naturelles. Ainsi, les matières suivantes sont recyclées : bois, gravats, aciers, métaux… À l’issue de ce sur-tri, les déchets peuvent également être valorisés en combustible solide de récupération (CSR), une alternative aux combustibles fossiles.
Les déchets ultimes pris en charge par Ecotri proviennent principalement des activités économiques des entreprises, mais également des bennes de tout-venant ou encombrants collectés dans les déchèteries publiques.
Ces déchets, ayant déjà subi un pré-tri sur nos autres sites de traitement, proviennent du Maine-et-Loire (49) et des départements limitrophes : Ille-et-Vilaine (35), Indre-et-Loire (37), Loire-Atlantique (44), Mayenne (53), Sarthe (72), Deux-Sèvres (79), Vendée (85) et Vienne (86).
Dans un bâtiment de 130 mètres de long, 13 mètres de haut et 30 mètres de large, Ecotri réunit des machines de pointe du monde entier pour le sur-tri des déchets ultimes à grande échelle.
« Nous avons associé différentes étapes de calibrage, de criblage, et de tris aérauliques, tris optiques, tris magnétiques, dans un fonctionnement automatisé pour traiter 65 000 tonnes de déchets ultimes par an. Le tout est complété par des robots fonctionnant à l’intelligence artificielle. L’équipe dédiée de dix-huit personnes intervient sur la gestion de la ligne et le contrôle qualité. » explique David Guibert, directeur industriel.
D’ici deux ans, nous installerons neuf hectares de panneaux photovoltaïques sur le site dans l’objectif de produire une électricité à grande échelle. Cette énergie renouvelable alimentera d’ailleurs à 100 % notre ligne de sur-tri, dont les machines ont aussi été choisies pour leur faible consommation !
L’initiative vient compléter les efforts que nous avons déjà engagés pour la transition de notre parc de véhicules vers les carburants alternatifs.
Nous tenons à remercier nos équipes, ainsi que nos partenaires et fournisseurs, qui ont permis de relever ce défi. Victor Brangeon précise : « Je félicite toutes les équipes internes, nos fournisseurs et nos partenaires qui ont relevé ce défi en quatre ans. Votre engagement a permis de donner naissance à Ecotri, une avancée dont nous pouvons tous être fiers ».
Fabien Gaufreteau a également salué la collaboration des clients du Groupe : « Sans vous, cette innovation n’aurait pas pu voir le jour. Votre confiance et votre engagement dans le tri à la source ont permis de rendre ce projet possible ».
Le projet a également bénéficié du soutien de l’Ademe, qui a contribué au financement à hauteur de 1,5 million d’euros.
Une solution inédite pour la valorisation des déchets ultimes
Les déchets ultimes sont habituellement stockés en casier. Ils sont en effet trop complexes à recycler par les méthodes traditionnelles en raison de leur composition hétérogène. Après une recherche infructueuse de solutions pour leur valorisation, nous avons pris l’initiative de développer un process unique et innovant ! « Jusqu’à présent, il n’existait pas de solution technique viable pour traiter les déchets ultimes. C’est pourquoi nous avons décidé de la créer nous-mêmes », explique Fabien Gaufreteau, directeur de Brangeon Recyclage. Ce projet, inédit en France et en Europe, représente un investissement de 22 millions d’euros.
Ecotri représente une avancée technologique et environnementale capable de traiter 65 000 tonnes de déchets par an, pour en valoriser 80 %. « Ce sont 52 000 tonnes de déchets qui n’iront plus en stockage mais seront orientées vers les filières de valorisation matière ou énergétique », ajoute Fabien Gaufreteau. Ce projet permet également d’atteindre un nouvel objectif pour notre groupe : valoriser 90 % des déchets que nous prenons en charge, contre 79 % jusqu’à présent.
Ainsi, alors qu’Ecotri est en fonctionnement depuis quelques semaines, il a déjà permis de transformer 5 800 tonnes de déchets ultimes en matières valorisées !
Une entreprise familiale tournée vers l’avenir
Victor Brangeon, président du Groupe, souligne l’importance de cette inauguration dans le cadre des 105 ans d’histoire de notre entreprise familiale : « Aujourd’hui, nous célébrons bien plus qu’une nouvelle infrastructure, nous inaugurons un tournant pour notre entreprise et pour l’environnement ». Il a également mis en lumière la vision du Groupe pour l’avenir : « Nous devons continuer d’innover conformément à notre Vision Zéro déchet, un chemin que nous avons entrepris depuis plusieurs années déjà. »
Cette vision passe par le tri des déchets à la source, l’amélioration du tri et la valorisation maximale des matières. L’usine Ecotri s’inscrit pleinement dans cette démarche en apportant une solution concrète au traitement des déchets non valorisables. « Nous avons un rôle à jouer dans la décarbonation de vos activités », a-t-il ajouté à l’adresse des partenaires présents, « et nous faisons tout pour vous accompagner dans la réduction de l’impact environnemental de vos déchets ». Lors de cette inauguration, Corinne Minot, sous-préfète de Cholet (49), a également pris la parole pour souligner notre engagement en faveur de l’innovation et « facteur de réussite pour la transition écologique du territoire ».
Une réponse aux besoins des entreprises en matière de gestion des déchets
Pour les entreprises industrielles, artisanales, commerciales ou du BTP, la gestion des déchets représente un enjeu majeur souvent coûteux. Avec Ecotri, nous proposons une solution performante qui permet d’optimiser la gestion des déchets tout en réduisant l’impact environnemental. Cette innovation est conçue pour réduire l’envoi en casiers de stockage des déchets les plus difficiles à traiter. Elle offre ainsi une meilleure réponse aux exigences réglementaires et environnementales, tout en répondant aux attentes en matière de RSE.
L’économie circulaire au cœur d’un process innovant
Ecotri contribue activement à l’économie circulaire avec la production de nouvelles matières, évitant ainsi l’utilisation de ressources naturelles. Ainsi, les matières suivantes sont recyclées : bois, gravats, aciers, métaux… À l’issue de ce sur-tri, les déchets peuvent également être valorisés en combustible solide de récupération (CSR), une alternative aux combustibles fossiles. Les déchets ultimes pris en charge par Ecotri proviennent principalement des activités économiques des entreprises, mais également des bennes de tout-venant ou encombrants collectés dans les déchèteries publiques.
Ces déchets, ayant déjà subi un pré-tri sur nos autres sites de traitement, proviennent du Maine-et-Loire (49) et des départements limitrophes : Ille-et-Vilaine (35), Indre-et-Loire (37), Loire-Atlantique (44), Mayenne (53), Sarthe (72), Deux-Sèvres (79), Vendée (85) et Vienne (86).
Dans un bâtiment de 130 mètres de long, 13 mètres de haut et 30 mètres de large, Ecotri réunit des machines de pointe du monde entier pour le sur-tri des déchets ultimes à grande échelle.« Nous avons associé différentes étapes de calibrage, de criblage, et de tris aérauliques, tris optiques, tris magnétiques, dans un fonctionnement automatisé pour traiter 65 000 tonnes de déchets ultimes par an. Le tout est complété par des robots fonctionnant à l’intelligence artificielle. L’équipe dédiée de dix-huit personnes intervient sur la gestion de la ligne et le contrôle qualité. » explique David Guibert, directeur industriel.
La transition énergétique au cœur du projet
Au-delà de la valorisation des déchets ultimes, Ecotri s’inscrit dans une démarche plus large de transition énergétique.D’ici deux ans, nous installerons neuf hectares de panneaux photovoltaïques sur le site dans l’objectif de produire une électricité à grande échelle. Cette énergie renouvelable alimentera d’ailleurs à 100 % notre ligne de sur-tri, dont les machines ont aussi été choisies pour leur faible consommation !
L’initiative vient compléter les efforts que nous avons déjà engagés pour la transition de notre parc de véhicules vers les carburants alternatifs.
Un projet collaboratif ambitieux
Nous tenons à remercier nos équipes, ainsi que nos partenaires et fournisseurs, qui ont permis de relever ce défi. Victor Brangeon précise : « Je félicite toutes les équipes internes, nos fournisseurs et nos partenaires qui ont relevé ce défi en quatre ans. Votre engagement a permis de donner naissance à Ecotri, une avancée dont nous pouvons tous être fiers ». Fabien Gaufreteau a également salué la collaboration des clients du Groupe : « Sans vous, cette innovation n’aurait pas pu voir le jour. Votre confiance et votre engagement dans le tri à la source ont permis de rendre ce projet possible ».
Le projet a également bénéficié du soutien de l’Ademe, qui a contribué au financement à hauteur de 1,5 million d’euros.